"Plus loin que la mémoire des Hommes" - Fort, éloquent, plus qu'un roman... l'évidence !
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  • "Plus loin que la mémoire des Hommes" - Fort, éloquent, plus qu'un roman... l'évidence !
  • "Plus loin que la mémoire des Hommes", 4ème de couverture - Extrait du roman et mini biographie de Evina Müller -
  • "Plus loin que la mémoire des Hommes"... "L'histoire, en toute chose, est inscrite à jamais"...
  • Dédicace possible ! Qu'il soit pour vous ou pour offrir, Evina Müller vous signera ce roman, avec grand plaisir !

Roman "Plus loin que la mémoire des Hommes"

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Avec autant de force que d’éloquence, Evina Müller, à travers ce roman fantastique et hors norme, nous amène à considérer notre planète non plus à l’échelle humaine, courte et individuelle, mais à une échelle bien plus grande et universelle... Un conte aussi merveilleux que surprenant ! 

Roman fantastique

Auteure : Evina Müller

            L’histoire d’un arbre entre deux mondes, d’un « Arbre de sève et de sang », d’un héros hors du commun ! L’histoire d’une amitié au-delà du temps et de l’espace ! L’histoire d’une quête impossible !

Les Quatre Vents, l’Oiseau de foudre. Les Esprits des Hautes Sphères, le Sage qui domine la mer... Des rencontres insolites, troublantes, bouleversantes... dans une incroyable odyssée !

Du Cœur du Ravin à la Vallée de l’Ambre, de la Montagne Sombre aux Cascades d’Argent, un voyage multidimensionnel entre l’extraordinaire et le merveilleux !

Entre fiction et réalité, d’une singulière densité : une aventure dont le lecteur ne sort pas indemne !

Médaille Prose décernée par La Compagnie Littéraire du Genêt d'Or, Jeux Floraux 2006, pour les extraits de l'ouvrage présentés Le bon endroit du monde (pages 140-141) et Les Quatre Vents (pages 115-116).

Extrait du roman (pages 106 - 107) :

             « [...] Les Lames de Fer hurlaient aux portes de la vallée, cherchant un passage pour avancer encore... Faisant barrage de son corps, l'Homme était debout, luttant dans la poussière, de toutes ses forces, de tout son cœur. L'Homme était debout... L'image de Pierre a saisi ma mémoire. Revenant du Temps des Rêves, je l'ai vu, ici même, assis auprès de moi, dans la nuit outremer. Sa voix me racontait, comme avant, de très vieilles histoires, où les dieux immortels affrontaient les monstres et les démons. Un monde de légendes, gravé au fond du ciel par des millions d'étoiles. Dans la nuit outremer, j'arpentais l'espace, de Persée à Algol, la tête du Diable... d'Héraclès à l'Hydre de Lerne...D'Héraclès, encore, au terrifiant Dragon, j'arpentais l'espace.

                Ici, aux portes de la Vallée de l'Ambre, loin des millions d'étoiles d'un monde de légendes, il y avait cet homme, debout dans la poussière, repoussant de ses bras nus les monstres enfantés par la contrée des hommes. Devant ce combat démesuré, je m'égarais dans les sphères des songes, imaginant qu'en cet homme, d'amour et de bravoure, brillait le feu des dieux immortels.

                Les sages des hautes forêts ont effacé d'un coup mes images célestes, et tous les souvenirs qui m'étaient revenus se sont perdus dans la poussière. Les sages des hautes forêts m'ont ramené en ma demeure. Le futur était là, aux portes de la vallée ! Le futur était là, posé sur un seul homme. Nous n'étions pas au monde des légendes. Aucune armure divine n'habillait nos corps. Nous n'avions, pour unique défense, que la force de vivre ! L'histoire prenait place... Le futur, déjà, devenait le présent ! [...] »

 

 

A propos de « PLUS LOIN QUE LA MEMOIRE DES HOMMES… »

              Evina Müller (Extrait de la conférence)

          « L’on dit parfois que les écrivains sont portés par des voix invisibles, et je le confirme alors, en ce sens où ce livre me semble en grande partie avoir été dicté. Peut-être, par cette sensibilité extrême qui nous ronge bien des fois tant elle est dure à porter, sommes-nous reliés à ce que Giono appelait « Le chant du monde ». Des voix qui traverseraient l’univers tout  entier, des voix générées par tout ce qu’il y a de vivant ici et en tout autre lieu. Des voix que mon père appelle « la conscience universelle », conscience à laquelle j’adhère.

          A l’heure où les droits les plus élémentaires se retrouvent bafoués, à l’heure où la notion de respect n’a jamais autant fait défaut sur la balance du Monde, j’ai eu besoin de prendre du recul.

          Sans pour autant dénigrer l’espèce humaine, j’ai eu besoin d’écrire un livre où l’homme ne serait pas le centre du Monde, mais un élément, juste un élément parmi tant d’autres. J’ai eu besoin de changer de peau, j’ai eu besoin de regarder ce Monde-là avec, si l’on peut dire, d’autres yeux. Ce qui m’est apparu, alors, c’est l’image d’un arbre. Arbre, si fort de symboles, de puissance. Arbre, générateur de vies, régulateur de tout notre écosystème. Arbre, du règne végétal, règne bien plus ancien que le règne animal. […] »

 

Fiche technique :

149 pages

Couverture illustrée couleur

Dos carré collé

Dimensions : 22.5 cm x 14.5 cm x 1.2 cm

Poids : 0.205 kg (hors emballage expédition)

Editions Les Presses Littéraires

Date de parution 2008

ISBN : 978-2-35073-200-8

EM/PLMH.22